La main sur l'épaule : découvrez les lauréats de notre concours de courts-métrages !
Notre partenariat avec la Maison du Film
La Fondation OCIRP s’est associée à la Maison du Film pour organiser son premier concours de courts-métrages, intitulé La Main sur l’épaule.
La Maison du Film est une association qui soutient la création cinématographique émergente en proposant des aides, conseils, ressources et formations innovantes.
Ce concours, réservé aux adhérents de l’association et coconstruit avec la Fondation OCIRP, a pour objectif de récompenser les scénarios de courts-métrages de fiction ou d’animation qui répondent à la question suivante : comment le lien intergénérationnel favorise-t-il l’autonomie des personnes fragilisées par une rupture de vie ?
Sur les plus de 60 scénarios reçus, deux lauréats ont été désignés par un Jury constitué de professionnels du cinéma et de collaborateurs de l’OCIRP.
Les lauréats bénéficient d’un accompagnement de La Maison du Film et d’une subvention financière de la Fondation OCIRP. Ils ont désormais une année pour produire leur court-métrage. Une remise des Prix avec diffusion des deux courts-métrages est prévue fin septembre 2023. Un prix du Grand public sera également décerné à l’œuvre ayant le plus retenu l’attention du public lors de cette cérémonie.
47 Pouces porté par Pascale MOMPEZ
47 Pouces comme la taille de Zélie, petite fille de 7 ans qui, une nuit, voit sa jeune tante Clara débarquer dans la maison familiale. Clara est triste, elle ne quitte pas la chambre et porte des bandages aux poignets. Zélie comprend que, pour lui redonner le sourire, il suffit qu’elle l’aide à dissiper les nuages dans sa tête…
Un scénario de court-métrage qui nous plonge dans la dépression que subit Clara et le combat des aidants (enfants comme adultes) pour vaincre cette maladie.
« C’est plus particulièrement sur le regard que Zélie porte sur sa tante et sa maladie que je désire m’attarder. Un regard dénué d’a priori, dans l’instant présent, avec la compréhension du nécessaire. Comme si l’état de sa tante était facilement réversible. » – Pascale Mompez, autrice-réalisatrice.
Jésus ne tremble pas porté par Olivier LAMBERT
L’invincible Jésus s’apprête à défendre un dernier titre de champion du monde de bilboquet. Pour ses supporters, la victoire ne fait aucun doute. Mais quand Jésus se découvre atteint de la maladie de Parkinson, il doit trouver une solution pour être à la hauteur de sa réputation…
Ce scénario confronte le champion d’un sport insolite à une maladie dégénérescente. Quelle réponse son entourage aura auprès d’un homme qui ne peut ni accepter son sort, ni se résigner à échouer ?
« Avec Jésus ne tremble pas, j’ai souhaité écrire un court-métrage sur cette thématique de Parkinson tout en développant un univers entièrement original, construit autour de mes sujets favoris : les territoires isolés et oubliés de la diagonale du vide française ; les héros ordinaires aux histoires extraordinaires ; la comédie et l’absurde. » – Olivier Lambert, auteur-réalisateur.
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